Le ciel de Provence n’est pas de gueules

par Guylaine Monnier

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1. Denis Podalydès lit La Mounine en janvier 2013, à l’Ecole normale supérieure.
2. Il existe deux autres versions autographes du manuscrit original.
3. « […] s’agit-il goutte à goutte d’une infusion du poison qui commence comme ciel, et qui finit comme azur ? », La Mounine ou Note après coup sur un ciel de Provence, dans La Rage de l’expression (1952), Œuvres complètes, t. I, Paris, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1999, p. 422.

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