Carnet de bal d’un courtisan (1/2)

par Romain Frezzato

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sternum exsudant l’espèce sens
ma race moindre
flottant au musc d’une la
tête étrécie
sous des cartilages
minant mou l’autre quand
celle large aux épaules
dans vesles vire trouve vaine ma
venue.

*

compacte vient
mimer là l’envieuse –
jeux d’œil ourlé,
pleine fronce de la lippe,
façon de buste et
grelot du goitre quand
patine au sillon l’épaisseur ;
léa lourde la
mamme mise la
lettre éteinte au thorax.

*

sudation douce d’elle tourne
à l’aigre à mesure
que froncent basse la
vulve l’arc
sourcilier –
épaisse ombre de qui
s’agite et goutte ;
forte pluie de qui sue
rance sur soi.

*

Tête dans
l’interstice
glottique au faîte d’une
assise,
entourant vain le quadriceps,
au pectoral
cuisses blotties, maya
mutique, durs
doigts dans
le poplité manipulante
excavatrice, feue
ma flexion quand
sexe étréci
dans la paume passeuse la
diplomate moindrit.

*

M’abîme où
se meut mastoc la
maman. Brune
basse où
se dilapide
ce musc mu d’une
empoigne, le
wax aux pieds
et, qui supe, moi, le
translucide au sol.

*

genoux sur
l’excrémentielle à
cent lieux
de peser moindre sur l’énorme mu
par l’amour du même cette
cataractante cathy
sur torse portant pâle puis
outré dans l’indistincte
enfonçure un vulgaire
pli de peau un
plus pâteux tandis qu’en nuque abdique l’homme
émietté dans l’étoupe.

*

pulpe d’une qu’être astreint à tendre là vers l’autre son
pourpre hapax sa bouche dur
botox des lippes moue
molle de qui
veut le
baiser l’œil et la
fronce fausse de qui
mime – phalle dans
mamme fond
seul.

*

en quelques clics : clelia
clivée.
nette tranche
de
ça glisse ;
oint pour
en paume se
perdre et
poisser.

*

séveuse est basse et bloc
compact
pas bée la bru molle maman
que d’un coup l’ointe tasse
et c’est au mille
ce lot
du laid.

*

passé mordre reste
l’empreinte spongieuse,
ce goût d’autre, un fini
qu’on dilate, un rien d’être
entre les dents,
salive, humeurs, peaux
répétés. Moi qui mâche,
pour que puisse être autre
ce mou d’homme, et
reliquat.

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