Chères amies, chers amis,
En 2021, nous avons publié un numéro papier : Catastrophes 3. Poésie pour la fin et le début des mondes (Le corridor bleu), ainsi que 5 numéros en ligne :
- 28 : « Au lieu d’un poème » ;
- 29 : « La vie des autres » ;
- 30 : « Dante est vivant » ;
- 31 : « Ou l’exil » ; et
- 32 : « Les images nous regardent ».
Ces cinq livraisons contiennent en tout 94 publications (poèmes ou ensembles de poèmes ; traductions ; essais). Le plus consulté est le numéro sur Dante ; les cinq publications les plus lues sont
- l’Hommage à Philippe Denis,
- les Trouées de Rim Battal ;
- les « Choses qui gagnent à être lues » (5) d’Yves di Manno ;
- « L’Enfer de Dante mis en vulgaire parlure » d’Antoine Brea et
- « L’Objet du poème » (7/7).
En tout, le site a connu 44 011 visites et environ deux cents nouvelles personnes se sont abonnées, portant le nombre à 873. Merci à toutes et tous pour votre intérêt !
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Pour l’année qui vient, Catastrophes voudrait prendre sur soi l’ensemble des catastrophes possibles – et vous souhaiter, ainsi libérée-délivrée, une 2022 toute d’amour, de joies et de formes nouvelles.
Pour bien la commencer, nous vous suggérons deux rendez-vous (pleins d’amour, de joies et de formes nouvelles, donc) dès janvier :
- Le 14 janvier à 18h30, aura lieu 10 Place Charles Dullin, 75018 Paris, dans une salle mise généreusement à disposition par la librairie Vendredi, le lancement de Madame Tout le monde (Le corridor bleu), l’anthologie composée par Marie de Quatrebarbes. Rencontre et lectures avec une dizaine des contributrices de cette anthologie.
- Le 18 janvier à 20h à la Maison de la poésie de Paris (Passage Moliėre ; 157, rue Saint-Martin, 75003 Paris), pour le lancement de l’Éducation géographique (Flammarion), Julia Lepère, Guillaume Condello et moi-même proposerons un voyage à trois voix le long d’un Rhône imaginaire qui coulerait de Paris vers Londres en passant par Penang, Milan, Dublin et Kyoto.
Venez nombreuses et nombreux !
Très belle année à tous,
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Pierre Vinclair pour Catastrophes
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A être, quand se peuvent les mots de l’être, être en l’espace d’une page…Bien à vous Lydie
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Toujours dans _la Vie du poème_, toujours dans l’_Autoportrait_. Étrangement ou non, Ashbery y conserve son statut de raseur suprême ayant su ou pu susciter des commentaires intéressants et utiles.
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Merci cher Didier ! Bonne lecture — et bonne année !
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